La ville marchande

Ha oui.

Le vent faisait rage, les érables dans la forêt tout près d'ici penchait sous le poids de la neige combinée à cette force de la nature nuisible. Le vent était ainsi, imprévisible, invisible mais malheureusement cette fois il était beaucoup plus que perceptible, il était invincible et il les avait choisis pour cible,eux qui priait la bible et qui ne mangeait que ce qu'il y avait de comestible dans la nature indestructible. Laissant sur ce début de rapprochement sensible une marque indélébile, il s'engouffra, irascible dans le Kimono amovible de Kyo. Impossible ! Le déductible adversaire était bien subtile car il entra aussi dans l'étable ou Talim se dirigeait d'un pas impeccable. C'était loin d'être acceptable, c'était même invivable alors il prit une des table et bien que ses semblable du domaine du mangeable ne semblait pas jetable, il la positionna de façons inimaginable puisqu'elle était utilisable. L'adversaire était incontrôlable, mais Kyo s'en savait capable..... Mais il en avait marre d'accorder tout ses action pour les faire rimer entre elle. Cette situation en elle même n'était elle pas la preuve qu'un bon coup de pelle aurait balancer au poubelle tout ses rime nouvelle ?

Bon Ok on skip sa, Gomen XD

Kyo rentra bien vite dans la maison de Talim. Le vent l'avait surpris dans un moment de faiblesse et tout ce qu'il avait trouver à répondre était un "Ha oui" bien banal. De toute façons, on n'entendait absolument rien. En l'espace d'une dizaine de seconde les jolie flocons fondant s'était transformé en terrible blizzard. Le beau feu était éteint, tout comme la petite flamme qui dansait dans sa tête. Mais elle eut tôt fait de se raviver quand il entra dans la maison de la jeune fille. Ce n'était pas petit, mais ce n'était pas un palais non plus. La forme ressemblait un peu à celle de sa petite maison sur la route de Tokai. Il était habitué au espace clos.

Mais seul. Dans son espace personnel, dans sa bulle, son périmètre de sécurité. Personne n'était autorisé à y entrer. Personne sauf ces imbécile d'amis et aussi cette fille. Et maintenant cette jeune demoiselle y était invitée elle aussi. C'était la débandade dans sa tête. Encore heureux, il appréciait la présence de cette personne, et ce depuis le premier instant. Et elle n'avait pas exprimé d'envie de le tuer. C'était réciproque. Mais elle était chez elle, dans son milieu naturel et elle vaquait déjà à une tâche qu'il ne sut analyser. Kyo ne savait pas où se mettre dans toute cette histoire. Il n'avait pas vu ainsi l'invitation de Talim dans sa demeure.

Pour l'heure il tenta d'imiter au mieux ce que Talim faisait, c'est à dire, placer des couvert sur la table de bois qui habitait le centre de la pièce. Puis quand elle arrêta son manège, il stoppa lui aussi. Et de nouveau il ne savait que faire.

Les deux jeunes individut réussirent a ce rendre a l'interieure de la modeste maison. Talim ne s'attendait pas a un vent de tel force. En temps habituel, elle aurait identifié le danger imminant bien avans. Mais ce moment passer avec ce jeune homme l'avait complètement empêchée de remplire sa tâche presque naturel.

La chaleur du foyer envahie aussi tôt la jeune fille. C'était un peut comme lorsque Kyo avait prit les mains de cette dernière, quoi qu'un peut différant en même temps. Elle s'assuras ducoin de l'oeil que l'homme en kimono était rentré et partit s'assuréque ce qui luirestait comme famille était hors de danger. Elle revint presqu'aussi tôt avec des couverts pour mettre la table. Effectivement, l'heur du souper avait déja sonner,quoi qu'ont aurais dit qu'il était bien plus tard. Kyo prit la moitier des bols de ses main et fit comme elle. Suivit des ustencile et accompagnement. Le souper ne trahissait pas l'allure de la demeure de campagne: une bonne soupe bien nutritive et pleine de bonne chose a la traditionel des cantons! (N'importe quoi)

Une foix le tout préparé, les deux individuts restèrent en silence dans la petite piece. Angoisse. Mal aise. Track? Au moment ou Talim ouvrit la bouche pour parler, sa grand-mèere arriva avecle chaudrons et sa louche... Elle était en forme la grand-mère, malgrès l'âge! Le grand-père aussi d'ailleur. Le résultat d'une vie campagnarde et d'ardant éfforts? Bref. Tout sa pour dire que les deux centenair -20 mangeairent dans la joie d'avoir un invité malgrès les silence prolongé des deux plus jeunes.

Talim ne savait plus ou donner de la tête. D'ordinaire, elle aurait était tout aussiplenne de joie de vivre que ses aînés,mais pas ce jour la. Étrangement, elle ne trouvait rien a répondre,sentant toujours le reguard persistant de Kyo poser sur elle...Normal vu qu'il était juste devans elle. Mais encore!

Après toute cette ''animation'', l'enfant des vents aida a ranger tout ce qu'ils avait précédament utiliser pour ce rassasier, laissant l'homme seul un instant dans la salle a manger. Même si le souper était d'une de ces simplicité a entammer, il s'avait prolonger en temps dans les bavardages et histoire qu'avait toujours transmit par oral les plus vieux..Du genre:

Il y a de cela bien longtemps, quand nous étions jeunes mon mari et moi,nous n'avions d'autre choix que de travailler sur nos terre ou devenir soldat pour Arbore! Il n'était pas question de s'avanturer hors des murs de la ville!Je suis heureus que les temps aillent changer et que l'ont puisse accueuillir ainsi un voyageur. Avans, si nous avions accepter une présence inconnu parmit nous, ont ce serais fait bannir ou priver de vendre nos produits! Et ci s'était le cas alors c'était la fin de notre simple petite vie!

Et blablabla, ainsi de suite.

En revenant elle s'excusa prièvement:

Gomen, ils ne sont pas très habituer d'avoir des invités ^^''

Silence

Moui bon... Il n'y a plus grand chose a faire ici pour aujourd'hui et..*Baille* J'croie que la fatigue me rattrape x). Alors que pense tu d'aller dormire? ......Le seul...Hic...C'est qu'ont va devoir partager le même lit ^^''''''

Si on veut pouvoir faire quelque chose demain, il faut mettre fin à aujourd'hui.

Cette phrase lui rappela que demain était le jour après aujourd'hui. Mais surtout que demain était un journée aussi incertaine que qu'hier. Il réalisa que sa phrase ne faisait aucun sens, puisqu'il n'avait rien prévu pour demain de toute façons. Mais ce serait surement une journée pleine de rebondissement tout comme celle qu'il venait de vivre. Retour au moment présent.

Il se faisait tard, en accumulant tout les événements de sa journée, il était normal que le temps aie passé ainsi. En matinée il avait fait le voyage Oran-Arbor accompagné de Luna. À midi, il était parti en courant pour aller faire une sieste dans une rue de la ville. Et en après-midi, il était parti cueillir du bois avec Talim. Maintenant que la soiré tirait à sa fin, il se demandait comment diable il s'était retrouver dans cette situation. Dormir. Il en connaissait les bienfaits mais préférait évité cet état de somnolence et de fragilité. Il savait qu'il ne risquait rien, dans le milieu de cette tempête, quelque part dans une petite maison recluse. Au moins aussi recluse que son ancienne maison.

Il serait bien sorti prendre l'air, mais c'est l'air qui menaçait de le prendre s'il pointait son nez au delà de la porte. Il n'y avait vraiment rien d'autre à faire que dormir. Ou peut-être finir son saké. Il ne restait qu'un fond à sa bouteille, mais ce fond en était suffisant pour assommer un cheval s'il eût l'envie de le boire d'une traite. Il en prit donc une gorgé modéré pour évité de s'endormir sur la table, puis il se dit que tout le monde avait le droit de faire des beau rêves, il tendit donc la bouteille à Talim, s'assurant que les vieux était déjà parti se coucher. Il prit soin de cacher le cachet 80% de sa main en lui tendant.

Tient, sa t'aidera à...dormir... dans un temps aussi froid.

Kyo rigola intérieurement. S'il s'avérait que la petite avait soif, il y avait quelque chose à faire de cette soirée. Il se rappela des moments près du feu où lui et ses compagnons fêtaient un victoire supplémentaire. L'un d'entre eux, son élève nommé Akira, n'avait que 12 ans. Il va sans dire que la saké le rendait toujours très joyeux. Lui qui était d'habitude si froid, perdait toute inhibition des la première gorgé. D'un naturel solitaire, il s'incrustait dans le groupe, allant même jusqu'à proposé des jeux d'ivrogne. Et Kyo, toujours ce sourire mesquin au lèvres, regardait son apprenti faire un fou de lui. Le lendemain, Akira le mitraillait de reproche, mais c'était lui le plus fort, il riait donc de bon cœur en l'écoutant ce plaindre.

Mais cette époque était terminée depuis déjà longtemps. La nostalgie était toujours présente, il se souvenait qu'à un moment dans sa vie il avait du plaisir à être entouré d'amis. Ce soir, il y avait Talim, jeune fille pleine d'énergie mais qui semblait plutôt calme depuis peu. Son sourire magnifique, il voulait le revoir. Il n'était pas particulière fier de ses méthodes, mais son but était noble et donc ses manières ne saurait ce faire discriminer. Une sourire au lèvres, il déposa la bouteille sur la table.

Il est vrai que Talim avait perdu un peut son sourire. Les questionnement commençait a lui montera la tête et ne la laisserais surement pas tranquille de la nuit. Sur le coup, elle n'avait pas penser au évènement qui venait de ce produire, mais sa conscience fit vite de lui faire réaliser. Comment devait-elle prendre ce rapprochement soudain? Voyez, cette simple question pouvait lui embrouiller les penser pendant au moins une bonne heur ..Seulement cette question.

Elle n'était pas vraiment fatiguer, mais elle ne voulait pas paraitre désagréable ou bien,associable lorsqu'elle était perdu dans ses pensés presque ridicule. C'est pour cela qu'elle fit un peut semblant. Kyo lui n'avait pas l'air très fatiguer , en fait, il n'avait pas l'air d'avoir envie de dormir ^^'.
Il sortit une bouteille dégageant une forte odeur d'alcool et en prit une gorgé. Puis, il l'a tendit a Talim, toujours dans son air un peu maussade qui s'efforçait de sourire en coin.

Elle savait très bien que ce n'était pas du jus ou de l'eau. Elle fixa un moment le contenant poser sur la table. Puis, sur un coup de tête après avoir jetée un coup d'oeuil a cet homme qui venait de faire naitre mille et une question en elle, elle s'empara de la bouteille et en prit une gorgé a son tour.

Cette minuscule gorgé avait suffit a presque assommé la petite Talim. La pauvre oublia presque toute ses questions et ce laissa tout simplement rire. Pour totalement rien, juste pour le plaisirs. Elle ce leva subitement pour rejoindre kyo de l'autre côté de la table. Mais trébucha avant de ce rendre. En quelque sorte, elle s'y rendit quand même...D'une manière moin chic que penser. En gros, elle tomba dans les bras de l'homme qui était assit et elle ce mit encore a rire.

Ha-haha! P-pardon! Je, haha, j'ai tomber xD

Puis,sans savoir pourquoi, ni si cela était approprié ni si elle le regretterais, elle l'embrassa sur la joue.

*Hahaha !*

Le sourire de la victoire s'afficha sur la bouche de Kyo, mais Talim ne le remarqua pas puisqu'elle était sur sa joue. Ce sourire, comparativement à celui qu'on affiche lorsque quelqu'un prend une photo de nous, est un sourire naturel et impossible à retenir. Comme le sourire de la jeune fille lorsqu'elle était heureuse, comme celui d'un enfant qui reçoit l'objet de ses rêves. Oui, ce soir Kyo était un enfant. Il n'avait certes pas un comportement très enfantin, surtout qu'il venait de prendre un autre gorgée de saké, mais il avait l'aura d'un petit garçons innocent. Et il était heureux comme sa, sans se faire de soucis, sans même réfléchir au conséquence de ses actes. Il pouvait se le permettre, il était Kyo. Il prit Talim qui empiétait sur son espace vital par les épaule, et l'éloigna un peu de son visage. Sur un ton qui se donnait un air sérieux mais qui ne l'était absolument pas, il se permit de faire une remarque à cette petite ivrogne.

Alors tu ne voit déjà plus droit devant toi ? Tu a passé à au moins 5 centimètre de ta cible ! Si tu veut je te montre comment on fait.

Puisqu'il la tenait déjà par les épaules, il n'eut pas de difficulté à atteindre sa cible. Il l'approcha gentiment puis déposa ses lèvres directement sur celle de Talim. Ce n'était pas un baiser passionné, bien qu'il y avait une sorte de charme derrière tout sa. Mais quelques secondes seulement après l'avoir embrassée, Kyo recula sa tête de nouveau pour regarder le visage de sa victime assise sur ses genou.

>/////////<

Il avait fait cela comme ceci dans ce but là et surtout pour cela. Il ne le regrettait surement pas, Talim avait des lèvres si douce. Son sourire l'avait déjà charmer, sa voix l'emmenait dans un autre univers et sa bouche... ne se décrivait pas avec les mot de son registre. Il en connaissait beaucoup, mais il n'arrivait pas à en coller aucun sur ce sentiment qu'il avait ressentis lors du contact. Et puis il n'en avait pas besoin de toutes façons, à quoi bon tenter de tout décrire quand le pouvoir de l'imaginaire peut nous rappeler plus précisément et à jamais ce qu'il avait ressentis. Il existait quelque autre truc dans ce genre, qui ne lui vinrent malheureusement pas à l'esprit car il n'arrivait pas à se concentré sur autre chose.

Cette femme lui faisait perdre la tête et il trouvait cela...amusant. Il la regarda un instant dans les yeux, si profondément qu'il aperçu le mur derrière elle. Il focusa donc un peu moins, histoire d'en revenir à ce qu'il admirait à la base. Des yeux d'un marron pur, si cristallin qu'il voyait son propre reflet à l'intérieur. Il se vit, en plan rapproché car il était en effet assez proches des dit yeux. Quand il cessa de regarder son propres reflet dans les yeux de Talim comme un con, il remarqua une lueur rouge qui s'éclipsa en un éclair. Avait il imaginé ce reflet, était-ce les chandelles de nuit qui éclairait son visage qui lui avait fait remarquer ce détail ? Ou bien avait il vu le reflet de son propres regard au travers celui de Talim.

Puis il revînt un peu sur terre. Il réalisa que de fixé quelqu'un de la sorte était assez impoli tout compte fait, surtout si elle n'en connaissait pas la raison et encore plus après ce qu'il venait de faire. Sans prendre en considération le fait que c'était elle qui avait voulut jouer ce jeu, il était assez évident que son geste était prématuré. Et puis il l'avait fait boire, et vu sa petite stature et son sexe, elle en avait surement assez pour voir double. Il regretta un peu son geste, pas pour lui, il en était très satisfait. Mais bien pour elle, car il ne connaissait proprement rien de sa vie, il ne savait pas si elle était promise en mariage à un fermier voisin, si elle était en peine d'amour ou encore pire, en couple ! Bien sur, il ne se laisserait pas marcher sur les pieds à cette idée, mais se serait du trouble inutile pour Talim. Il se sentait un peu manipulateur et surtout profiteur.

Mais c'était dans sa nature, il n'avait pas à s'en faire juste parce que... Il n'avait pas à s'en faire tout court. Kyo fait les choses qu'il fait, un point c'est tout. Dans cet esprit, il bougea un peu, Talim lui était tomber dessus dans une position qui ne résistait pas au temps. Mais il avait la flemme de bouger, il bougea donc celle qui lui était tomber dessus "sans le faire exprès". Il la fît pivoté, lentement pour ne pas lui donner le tournis, jusqu'à ce qu'elle soit accotée le dos sur son buste. Il faisait un peu plus d'une tête qu'elle, il voyait donc sa tête et oups héhéhé XD...... Il rougit puis regarda la chandelle posé sur la table avant de dire :

...

Talim devait-elle seulement s,attendre à une tel chose? Ce que cet homme venait de fait la laisant sans défence. S'en rappellera-t-elle malgrès tout demain? Sans en être totalement consciente, elle sentit que son corp était tremblant, comme, transpercer par ont ne sais quelle force. Une force indecriptible qui, pourtant, n'était pas tout a fair désagléable ou même, plaisante. Toute fois, cette chaleur s'estompait peut à peut au fur et a mesure que les secondes déboulaient.

Étant toujours racrocher à sont état initial face a ce baiser improvisé, Talim ne remarqua pas sur le coup que Kyo la fixait d'une manière presque épeurante. Lorsqu'elle retomba finalement sur Terre, elle ne put qu'être captiver par l'autre reguard. Un reguard rouge qui l'effrayait presque. Mais pourquoi avait-elle peur? Il n'était pourtant pas méchant, ça, Talim pouvait le sentir, mais ce sentiment était bien présent et l'envaissait jusqu'au bout de ses doigts.

Alors que le temps semblait s'avoir arrêtter entre fixation, Kyo détourna le reguard. Ce qui permetta a la petit mineur de fixait autre chose, enfin, de frotter un peut ses yeux d'une main.Car s'empêcher de cligner les yeux sa use !

La jeune fille tennait-enfin, ne tennait pas- l'alcool, c'est donc pour cela qu'elle ce laissa déplacer pour ce retrouver à faire dos au samourai, tout en étant presque plus près de lui que lors de sa chute. Tout était alors redevenu calme, ont aurait put entendre la pluit venir se fracasser sur le toit d la petite maison ,mais bien évidament, il neigeait. Il avait cesser de venter à l'exterieure. Talim n'eu pas le temps de le remarquer, non, elle ce sentait tellement bien, quoi qu'un peut étourdit, qu'elle tomba endormit comme un enfants à qui l'ont vient de raconter un conte de fée qui finissait bien...

*Bon.... Sa règle le problème du lit ?*

Kyo reposa son regard sur Talim qui c'était endormi sur lui. La petite ne prenait pas si bien l'alcool finalement, mais ce n'était pas si mal, il avait résolu deux problème avec une seule gorgée....sûrement le meilleur rapport qualité prix qu'il ait jamais eut ! Mais ce n'était pas le temps de faire de telle comparaison, alors que d'autre beaucoup plus merveilleuse lui venait à l'esprit. Par exemple, il aurait pu comparé la femme qui était dans ses bras à un ange dormant paisiblement dans les bras de Morphée ou bien à une enfant innocente qui s'endort inconsciente du danger qui l'entoure. Il ne savait comment classé Talim, qui était à la fois assez mature pour prendre des décisions et partir seule à l'aventure, mais qui gardait au fond d'elle une pureté que seul ceux qui n'ont pas vu les horreurs de ce monde pouvait encore avoir en eux.

Il est vraie qu'il était prêt à dormir maintenant, mais à quoi bon dormir quand il rêvait éveillé et qu'il était certain qu'une fois ses yeux fermer il ne pourrais que détruire cette image qu'il avait devant lui. Parfois la réalité frappe avec une puissance t-elle que plus jamais on ne voudrait fermer les yeux. Parfois la réalité est plus belle que l'imagination. Parfois on voudrait rêver que la vie est toujours aussi belle que ce que le rêve nous donne en reflet.

Maintes fois il avait fermé les yeux tard dans la nuit pour que ces images désagréable qui le hantait, qui s'affichait sans cesse même lorsque nos paupière son close, disparaisse dans le néant. Il est vrai qu'une journée banale ce conclue très bien dans un rêves nous promettant un futur plus agréable. Mais qu'en est il du sommeil lorsque ce futur vous tombe directement dessus ? Qui fermerait les yeux dans ce cas ?...

Pas Kyo. Il serait resté dans cette position aussi longtemps qu'il l'aurait voulut, jamais son corps ne l'aurait trahi. Jamais sa résolution ni son esprit ne serait aller vaquer à d'autre occupations aussi fascinante puisse t-elle être. Mais lui n'avait beau pas bouger d'un centimètre, la belle au bois dormant finirait bien par se réveiller au moment ou le soleil se lèverait dans le ciel. Et à ce moment, il allait devoir expliquer la raison de ses agissements. Ou bien feindre un réveil comme la première fois où il avait rencontré Talim. Mais elle l'avait déjà vue agir ainsi, elle comprendrait donc que le samurai mentait et d'un regard emplis de reproche elle lui demanderais pourquoi il n'avait pas fermé l'œil de la nuit.

La nuit.... était un moment qu'il adorait et qu'il détestait en même temps. Elle l'inspirait, l'apaisait et la brise était habituellement agréable sous les cerisiers. Mais toute cette quiétude apportait son lot de calme et donc de réflexion. Réflexion qu'il s'était bien décidé à ne pas avoir ce soir. Il décida donc finalement d'aller dormir pour évité de penser à des notions complexe qui gâcherais toute la magie du moment.

Lentement il se leva, Talim dans ses bras ne pesant pas plus qu'une plume. Il ne regardait pas où il mettait les pieds, car distrait par se sourire béant s'affichant sur le visage de celle qu'il portait, et donc la table avait maintenant son emprunte de pied.... et de jambe bien inscrite en elle. Le "Crack" que le bois causa lorsqu'il se fendît était assez aigu alors Kyo arrêta de marcher un instant pour s'assurer qu'il n'avait réveillé personne. Les parents de Talim n'auraient certainement pas apprécié. Puis il reprit sa marche en continuant de regarder sa princesse. Il préférait refaire la même erreur deux fois de suite plutôt que d'abandonner cette vision magnifique. Les escalier se montèrent relativement bien, sauf le craquement de chaque marche qui résonnait dans toute la maison. Mais le froid de l'hiver faisait lui aussi fendre le bois des murs, donc ces bruits se fondirent dans le décors.

Finalement, il arriva dans la seule pièce qu'il y avait au deuxième. La chambre de Talim apparemment. Il n'aurait pas pus le juré, puisque la pièce n'avait rien de bien féminin si ce n'était d'une lampe rouge qui habitait le coin de la pièce et un vase emplis de fleur fraîche à son opposé. Mais comme ses parents dormait, et qu'habituellement il y avait rarement une chambre de trop dans une maison, il ne pouvait être qu'au bon endroit. Comme la maison avait un toit triangulaire, la pièce avait elle aussi un plafond incliné. Il n'aurait pas pu se tenir debout dans l'extrémité la plus basse car il était assez grand, mais Talim devait surement y arriver puisque cette partie était elle aussi meublé. Où je m'en vais avec tout ses détails....aucune idée, mais un narrateur ce doit de narrater ce qu'il y à de narratable. Il peut aussi se permettre d'inventer des mots >_>

Pour en revenir à nos moutons, Kyo était arrivé dans la chambre de Talim. Il constata qu'elle avait dit vraie, il n'y avait qu'un seul lit. Pourquoi y en aurait il eût deux de toute façons puisqu'elle dormait habituellement seule. C'était aussi un lit simple. La petite princesse ne bougeait sûrement pas dans son sommeil car elle serait tomber assez rapidement et le plancher semblait intacte. Il l'a déposa gentiment, un peu sur le bord du lit. Elle était si mignonne quand elle dormait qu'il songea de nouveau à rester planter là pour la regarder dormir. Mais il avait déjà eue cette discussion avec lui même, il devait aller dormir. Il contourna donc le lit et ~~s'enfila....se coucha ?.....se faufila....~~s'incrusta à son tours dans le douillet petit lit. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas dormis dans un vraie lit, il ne se rappelait pas que c'était aussi confortable. Mais il se souvenait que ce n'était pas aussi chaud et cela il le devait à Talim qui dormait dans ses bras. Heureusement qu'il n'était pas plus gros qu'un cure dent, le plancher en aurait souffert autrement.

Avant de fermer les yeux, il regarda par la fenêtre qui laissait entrer un faisceau de lune et constata qu'il était déjà au moins 2 heures du matin. Il soupira à la penser qu'il allait se réveillé très tard le lendemain si personne ne songeait à le réveillé. Il soupira car désormais il avait quelque chose à faire pour combler ses journée, mais il ne perdait pas ses mauvaises habitude pour autant. Il espéra que Talim le réveillerait lorsqu'elle en ferait de même. Puis il ferma définitivement ses paupières pour sombrer dans un sommeil profond. Sa dernière pensée fût pour Talim et ses rêves furent fidèle à cette pensée.

Talim ce réveilla de bonne humeur ,quoi qu'avec un tout petit mal de tête.La lumière avait percer à travers la seule fenêtre de la pièce. Le soleil était revenu et la jeune fille ne put s'empècher de sourire à cette pensée. Ce n'es qu'après sa qu'elle réalisa qu'elle n'était pas la seule dans cette chambre. Effectivement, Kyo était endormit à ses côté. Talim réfléchit un moment avans de se rappeller le pourquoi du fait. Elle ce mit alors à imaginer tout plein de sénarios différants du comment Kyo avait trouver la minuscule chambre.

Sortit de ces petites histoires dépourvut de grande importance, la petite ce leva tranquillement, sans rien brusquer. Elle ne voulait surtout pas faire de bruit pour réveiller le jeune homme. Sur la pointe des pieds, elle se rendit jusqu'au cadre de porte. Elle faillie tomber et ce casser la figure sur le planché assez frois à plusieurs reprise, mais elle retrouva son équillibre. Alors qu'elle s'apraitait à sortire de la pièce et le laisser dormire encore un peut, elle jetta un coup d'oeuil en sa direction.

Cet homme...Il était assez grand comparé a elle. Mais leurs cheveux était du même noir, ébenne. Non, finalement, ceux du samouraïe était plus foncé encore, par je-ne-sais quel moyen. Assoupi ainsi, Talim trouvait qu'il avait l'air plus serain, ou, tout simplement, plus heureux malgrès qu'il ne souriait pas vraiment. La jeune fille , après un sourir en coin, se dirigea vers la cuisine en bas.

Ses grands-parents ce réveillait toujours 30 à 45 minutes après elle, lorsque le déjeuner était servit quoi!
Effectivement, c'était la jeune qui préparait le déjeuner. Aujourd'hui il y aurrait des oeufs retournés avec une ou deux tranche de pain. Après avoir jetée un coup d'oeuil dehors, Talim se félicita d'avoir penser à acheter des oeufs le jours d'avans.

À l'aide d'une toute petite allumette, la jeune filles des vents mit le feux au bois qui servait de poêlon. Elle mit ensuite une miche de pain commencer q'au tiere sur le centre de la....table!? Qu'était-il arrivé à la table!?? Elle était craquée au centre, comme si quelqu'un avans frappé en plein centre. Talim décida d'ignoré et de cacher ce détail avec une assiette ou elle reposa le pain.Elle fit cuire ensuite les oeufs, six sufiraient non?

Après avoir réussit son coup (étant très fière aussi, en passant) , les grand-parents arrivèrent. Son grand-père, toujour sourriant et sa grand-mère encore un peu endormit, comme à l'habitude s'assirent à leurs places respective.

Vous pouvez commencer à manger, je vais le réveiller.

Elle monta donc les escalier cranquant, ce répétant à chaque pas combien il faudrais trouver un moyen de corriger ce son assez désagréable. De retour dans sa propre chambre, Kyo dormait toujours. Talim réfléchissa un moment à comment le réveiller. De manière brusque comme ''dans la rue''? Ou bien autrement? Elle opta pour la deuxième option. De la même manière qu'elle était partie plus tôt, la jeune fille se raprocha du lit puis ce pencha vers l'oreil du jeune homme endormit. Elle chuchota alors gentiment

Kyooooo~ Réveilleuh toiiii~ C'est le matin ^^

Un peu avant que Talim ne se lève, ou en même temps (il ne saurait être assez précis), les rayons du soleil avait envahit la pièce. La même fenêtre qui lui avait servi de guide pour déposé Talim dans ce lit sans la faire tomber sur le plancher, le même orifice qui lui avait permis d'observer la lune avant de s'endormir, venait maintenant le troubler dans son sommeil qui était déjà très léger.

*Je hait les fenêtre*

Mais il n'allait pas ce laisser réveillé par un simple excès de vitamine C aussi puissant fussent il. Quoique rester dans ce lit ne servirait pas à grand chose, sont esprit avait recommencer à travailler et son cerveau avait déjà reprit l'ensemble de ces capacités. Mais il était tout de même.... fatigué ? Ce n'était pas tout à fait cela, plutôt comme une sorte de sérénité. Bien sur, il lui arrivait de dormir, son corps ne pouvait fonctionner sans reprendre des forces. Mais habituellement, dès le réveil il avait cet habitude de ce lever rapidement, de plier bagage et de partir de son arbre (Les samurai dorment dans les arbres maintenant :D).

Peut-être que c'est parce qu'il n'avait pas à le faire ce matin qu'il était si calme. Et puis il n'avait pas été assez rapide, Talim était déjà descendu. Il se rappela alors qu'il avait été assez bruyant la veille, sans avoir fait exprès non plus. Et la table était troué en plein centre, impossible pour les grand-parents de Talim de ne pas le remarquer. Décidément, ils allaient trouvé louche toute cette mise en scène. Il resta donc couché, laissa le temps faire ce qu'il devait faire. Il se voyait mal expliqué ce qu'il avait fait.... ou pas fait.

Puis il entendit des bruit de pas qui montait dans l'escalier. Il ne savait pas qui c'était, celons toute logique, la grand-mère ne viendrait pas le réveillé, sa serait potentiellement obscène étant donner ce qui aurait pus possiblement ce produire. Le grand-père par contre avait "peut-être" un shotgun. Kyo n'avait pas un historique très amusant avec les armes à feu et les vieil hommes. À force de dormir sur le toit des maisons qui ne vous appartiennes pas, on apprend à ce méfier de telle situation. Mais dans ce cas, il ne pouvait pas faire grand choses non plus, fuir par la fenêtre ne semblait pas une solution idéale. Alors il referma les yeux et attendit que la personne entre dans la pièce.

Les pas craquaient dans les escalier, il y avait obligatoirement quelqu'un. Puis c'est le plancher de la chambre qui commença à faire du bruit. Les pas s'approchaient, lentement, laissant leurs empreinte sonore résonné dans la tête du samurai qui faisait de son mieux pour avoir l'air endormi. Cet art, il avait réussis à le maitrisé pour tromper l'ennemi, donc il était très convaincant. Le bruit stoppa. La respiration de la personne présente aussi. Le vieux fou essayait surement de viser correctement pour l'abattre d'un seul coups. Mais il me pouvait plus ce lever à ce stade, il n'allait quand même pas trancher le grand-père de Talim. Il attendait. Puis doucement, les pas se rapprochèrent et dans son oreille, une douce voix retentit.

Kyooooo~ Réveilleuh toiiii~ C'est le matin ^^

Bien sur, sa faisait aussi du sens. Mais quel con XD Il avait oublier cette possibilité et maintenant il se retrouvait dans une situation fort embarrassante. Faire semblant de dormir quand quelqu'un entre dans la pièce ou vous vous trouvez pouvait vouloir dire deux choses. La première étant : Fou le camps je veut pas te voir. La deuxième : Et si on dormait encore un peu =3.

Bon, il était crédible dans son rôle, mais il ne pouvait pas non plus offrir ces deux choix à Talim. La journée était commencer, il fallait donc se lever. Il était content de ne pas s'être fait fusiller, c'était déjà ça. Il ne restait qu'à expliquer son excès de sommeil pour commencer la journée du bon pied.

Kyo ? Connait pas. Demander à la dame qui dort à coté de moi elle vous dira pourquoi il faut cueillir des champignons dans les bois.

Il n'y avait personne à coté de lui, puisque Talim était debout à coté du lit.

Ah tien, elle est partie... Salut comment vont les enfants ?

Suite à ce discours (Oui, comparé à ses paroles habituel, ceci était un discours), Kyo se leva tranquillement. Qu'il simule ou pas son réveil, il disait toujours quelque chose de stupide en ce réveillant. C'était une habitude qu'il avait depuis toujours. Une fois debout, il souris en regardant par la fenêtre puis de nouveau il abaissa son regard sur la personne qui l'avait réveillé. La jeune demoiselle devant lui, qui était d'ailleurs ravissante de si bon matin, surtout qu'elle baignait dans les rayons du soleil, était souriante et enjoué. Kyo cligna des yeux pour s'assurer que ce n'était pas son imagination qui envoyait cette images pour lui jouer des tours. Mais ce n'était pas le cas.

Désolé j'ai trop dormi... c'est parce que j'ai regarder....la lune.... trop longtemps hier soir.

Ce n'était exactement ça qu'il avait regarder, mais en même temps qu'il prononçait sa phrase, il avait décidé de métaphorisé sa pensé pour ne pas avoir l'air d'un vieil obsédé. Il avait regarder Talim très longtemps, mais il est d'information qui jamais ne devait se dire de vive voix. Il ne voulait pas la gêner non plus, bien que sa soit aisément dans ses moyens. Il n'aurait qu'à dire tout ce qu'il avait sur sa conscience avec ses mots qu'il savait pouvoir écrire si magnifiquement. Mais il cru bon de ne pas user de compliments. Il ne savait pourquoi, complimenter quelqu'un ne lui semblait pas être la façons de faire les choses. Il se donnait corps et âme, c'est comme cela qu'il prouvait ses pensée.

Au fait, j'ai casser la table O.O

Désolé j'ai trop dormi... c'est parce que j'ai regarder....la lune.... trop longtemps hier soir.

Kyo regarda un peut en l'air en disant cela. Suivit de:

Au fait, j'ai casser la table O.O

Talim n'eu aucune réaction au départ. Elle imaginait Kyo donner un grand coup de poing en plein milieux de la table, ce qui l'a traumatisa un moment. Ensuite, elle l'imagina tout simplement tomber en ce levant, une chute marginale même. À cette toute simple réflexion, elle ne put s'empêcher de rire, sans que le samouraï ne sache pourquoi. Puis, silence. Le temps? Suspendu. Malaise. Alors Talim prit l'initiative de s'approcher vers lui, fuyant un peut son regard, puis, prit sa main et le tira jusque dans le couloir. Lorsque je dit tirer, je veux un peut plus dire guider.

..Ont va manger, d'accord?

La jeune fille ne détestait pas la sensation de sa main dans celle de Kyo. Il n'y avait pas que elle qui serrait la main, c'était agréable. Elle s'arrêta juste devant les marches, suite à une question qui lui traversa l’esprit. Elle n’avait pas penser à ça , cette possibilité, quoi que même inéluctable. Talim se retourna , la vue un peut plus humide que d’habitude. Elle ne ce gêna pas , cette fois là, pour le regarder droit dans les yeux. Après une respiration subtile mais profonde, la jeune fille trouva un moyen de dire quelques mots qui coupèrent l’espace. Cette phrase était adressé à Kyo et ressemblait à une simple question. Mais dans le fin fond, si ont cherchait bien, il y avait beaucoup plus que les mots utilisés et assemblé maladroitement en phrase finit par un point d’interrogation. Elle connaissait la réponse, elle était évidente , mais elle devait quand même la posé. Vous savez, comme lorsqu’un enfants voie son animal de compagnie se faire enterrer. Il ne peut s’empêcher de posé, de sa petite voix frêle et tremblante, ‘’ Il va pas se réveiller, han?’’.

Pourquoi elle se sentait comme ça? C’est vrai, après tout, elle ne le connaissait que depuis le jour d’avant. Et vise versa. Il n’avait aucune raison de lui répondre gentiment, avec compassion ou même pitié. De ce qu’elle se rappelait vaguement du ‘’hier’’ , ne voulait peut-être rien dire à ces yeux rouge écarlate. En fait, Talim n’arrivait même pas à comprendre ce qu’elle pensait elle même. Tout s’avait écoulé tellement vite. Ça ne lui était jamais arrivé avant. Elle ne pouvait donc pas comparer avec aucun autre sentiment précédant. C’était l’inconnue , tout simplement. Elle prit une chance, rien de plus, rien de moins.

La petite n’avait toujours pas relâché la main du jeune homme qu’elle serrait de plus en plus, sans s’en rendre vraiment compte.

O-où compte tu aller après ton…ton départ…?

Qu’allait-il répondre? Aucune idée, elle en avait complètement aucune idée.

Musique : Hatsune Miku - Packaged ~ Piano Version
Facultatif et/ou Volume minimum recommandé.

Kyo bailla un grand coups pour aspirer l'air matinale qui le lancerait sur sa journée. Pour une raison quelconque, basée sur des spéculations purement in-prouvé, il avait toujours cru que cette première bouffée d'oxygène emplissait le corps pour l'ensemble de la journée à venir. De cette façons, quand il se réveillait dans un arbre, sa journée se passait plutôt bien car la nature est emplies d'un air pur et bon pour la santé. À l'inverse, quand il dormait dans des quartier défavorable, l'odeur typique des lieux lui donnait une mauvaise humeur de bon matin. Ce matin-ci donc, dans la chambres de Talim, il prit sa bouffé d'air habituelle, qui lui indiquerait si sa journée était assez bien commencée pour être vécu pleinement.

Ce qu'il ressentit comme première impression était différente des diverses sensations qu'il avait déjà expérimentés au réveil. Ce n'était pas un mauvais pressentiment, mais l'inverse ne s'appliquait pas pour autant. Il n'augurait pas de temps nuageux, pas d'éclairci en après midi, seulement un sentiment flottant et incertain. Il décida donc de ne pas commencer à essayer de comprendre pourquoi il se sentait de la sorte, il en aurait la conclusion à la fin de la journée de toute façons.

Son bâillement fut interrompu par un rire. Les yeux fermés, les oreilles à moitié bouchés, il savait tout de même qu'il s'agissait de celui de la jeune femme. Bon.... elle était plantée devant lui et était la seule femme en âge de rire de la sorte de toute la maison, mais là n'était pas le point. Il savait que c'était elle car il ne pourrait jamais oublier la première fois, c'est à dire la veille, ou il avait entendu ce rire si cristallin sortir de sa bouche inopinément. Et il ne pouvait non plus se résoudre à ne plus l'entendre par la suite, quitte à devoir le provoquer lui même. Il connaissait les moyens, bien que ce n'était pas dans ses principes de faire sourire les gens car sa ne lui apportait normalement aucune satisfaction. Il était plutôt du genre à espérer une grimace défiguré ou un visage effrayé sur ses proies. Dans le pire des cas, il voulait voir la peur et entendre les cris d'agonie de la part de ses très chères victimes.

La preuve qu'il avait fait une croix sur toutes ces vilaines choses ce trouvait devant lui, et lui faisait ressentir un grand réconfort en étant tout l'inverse de ce qu'il aimait jadis. Un sourire, un rire, de jolie choses agréables en somme. Toute chez la même personnes. Le hasard de ses recherches, car oui c'était bien du hasard, du destin ou peut importe comment vous nommer ce pouvoir incontrôlable qui régis nos vie, l'avait mené jusqu'à elle de façons très peu subtile et choquante par moment. Mais maintenant que tout ses questionnements avait trouvés réponse, que la nuit lui avait porté conseil, il ne pouvait qu'apprécier à sa juste valeurs ce qui lui était offert.

Kyo se leva donc, guidé par la petite main de Talim. Il ne trouvait pas la main si petite en fait, mais il aimait la tenir dans la sienne alors que c'était elle qui tirait les rennes. Sûrement son habitude à avoir légèrement le dessus sur à peu près tout ce qui existait. Mais bien que sa main aurait pu broyer aisément celle de Talim, il la serra juste assez pour qu'elle comprenne qu'il la suivait volontairement et chaleureusement. Il n'était pas chez lui et il préférait se faire trainer d'un coté et de l'autre plutôt que de faire des bêtises un peu partout dans ces pièces qui lui étaient inconnues. Il arriva ainsi en haut des escaliers, escaliers qu'il avait monté avec Talim dans les bras il y à quelques heures à peine. Lui aussi souris alors à la pensée que les rôles avait été inversé cette fois. Mais avant d'avoir la chance de les descendre vînt cette phrase :

..Ont va manger, d'accord?

Manger ? Mais ils avaient déjà manger hier soir

Et Kyo n'était pas vraiment du genre à manger. Comment faisait il pour combattre sans mourir de faim, comment faisait il pour seulement passer au travers des journées bien normales sans se nourrir, ça personne ne le savait vraiment. Quoi qu'il en soit, ingurgiter de la nourriture ne figurait pas dans les activités qu'il appréciait vraiment. Notez que le saké n'est pas considéré comme un aliment. Mais bon, il était dans cette maison, il n'avait pas envie d'en sortir et surtout de quitter si tôt la charmante jeune dame. S'il fallait faire semblant d'être normal, il pouvait bien faire un effort.... il ne mangerais pas la semaine suivante et puis c'est tout. Mais avant qu'il n'en arrive à ce stade, Talim fit un arrêt. Un arrêt qui stoppa en même temps son subconscient de toutes tâches qu'il effectuaient la seconde précédente. Elle se retourna, les yeux vitreux, rendant son regard marron clair plutôt brun troublé. Mais le plus préoccupant n'était pas la couleur de ses pupilles mais bien l'état dans lequel elle se trouvait.

Il ne savait pas vraiment lequel c'était d'ailleurs. Depuis son réveil, il ne pensait pas avoir fait ou dit quoi que ce soit qui puisse la mettre dans cet état. Peut-être que sa grand-mère était morte. Dans ce cas, cela voulait dire que Talim avait monté courageusement au deuxième pour venir le réveiller et que finalement, au bords des larmes elle cherchait quelqu'un pour la consoler. Ou bien, il y avait des chances qu'elle ait tout simplement pillé sur un bout de verre et donc un cri strident était imminent car la douleur allait bientôt se faire sentir. Ces hypothèses furent rapidement mise de coté car Talim, après un certain temps de réflexion, lui demanda ceci :

O-où compte tu aller après ton…ton départ…?

En disant cela, elle lui serra la main un peu plus fort....beaucoup plus fort.....encore plus fort. Le poids de cette question était donc si lourd ? Pendant un instant, il réalisa que la "petite" pouvait, si elle le voulait, lui casser un bras. Au sens propres, mais surtout au sens figuré. Bien que jeune et innocente, elle semblait ressentir quelque choses en cet instant qui lui aurait permis de lever des montagnes, déplacer des rivières, changer le cours du temps et remettre en question les lois de la physique régissant le monde tel qu'on le connait. Dans ce simple serrement de sa main, c'est cela qu'il ressentait. Normalement, on aurait comprit une gène ou un malaise, mais lui qui jugeait les gens par la force de leurs esprit, de leurs conviction depuis toujours décelait les pensées derrière les gestes.

Et donc, conscient de l'immensité de la question, il se devait de répondre honnêtement et surtout avec autant de sincérité et d'intensité qu'il pouvait en donner. Il avait fait germer chez Talim une graine qu'il avait semée sans s'en rendre compte. Mais il restait Kyo, il devait assumer ce qu'il faisait pousser même inconsciemment. S'il avait voulut éviter le problème, rien ne lui aurait empêché de tuer Talim lors de leur première rencontre ou tout simplement de l'ignorer. Mais il avait choisis à ce moment là de la suivre, et il était pleinement conscient qu'un battement d'aile de papillons en Asie pouvait créé des ouragans en Amérique. Et l'ouragan venait justement de se déclencher devant lui, en la personne de Talim. Elle exigeait des réponses à des questions qu'il ne s'était même pas encore posé lui même. Mais il allait y répondre puisque la chance lui était offerte. Cependant, ça allait ce faire sur l'instinct du moment, car un moment de silence prolongé, qui lui permettrait de réfléchir, serait mal interprété et n'aiderait pas la situation. Il répondit donc ceci, sur un coup de tête, ce qui reflétait assurément ce qu'il pensait au plus profond de lui :

Je m'en vais... Je m'en vais ? Ou est-ce que je m'en vais ? Tu me fou dehors ?!

Puis il afficha un sourire semblable à ceux que Talim lui offraient quand il le méritait. Il avait dit beaucoup de mot dans cette phrases, ce n'était pas dans ses habitudes. Mais la situation nécessitait 3 choses selon lui. Des mots, du réconfort, et de l'humour. En ce qui à trait au trois catégorie..... Il n'était pas considéré comme compétent vu ses antécédents. Mais il pensait avoir dit les bonnes choses, et c'est pour cette raison qu'il souriait. Espérons seulement qu'il n'était pas à coté de la plaque.

Puis comme il serrait toujours la main de Talim, il se demanda si le mouvement vers la cuisine allait reprendre. sachant personnellement qu'il ne s'intéressait pas particulièrement à ce qui se trouvait à l'étage inférieur, il se dit qu'il était aussi bien de profiter des peut-être-derniers instants au deuxième. À partir de ce moment, il était soit complètement hors-jeux ou bien il avançait dans la bonne direction. Et comme il avait pour valeurs l'avancement personnel et la découverte de nouvelles connaissances, il décida qu'il valait vraiment mieux continuer de risquer la chose. Il s'approcha, pas trop subitement pour ne pas que Talim recule et déboule les marches, et de sa main libre qu'il passa par dessus son épaule, il enlaça celle qu'il aimait tout doucement. Il n'y avait plus de mots admissible qui lui vinrent à l'esprit. Seulement des pensées. Mais il ne pouvait pas encore les exprimer sans froisser ce début de relation. Quant à lui, il était déjà rendu plus loin que Christophe Colomb ou n'importe lesquelles de ces grands explorateur (Qui n'existait pas à cette époque mais bon.....)

Il avait un pied dans la tombe et un pied directement sur la terre ferme. Kyo ressentait la même exaltation, la même adrénaline que dans un combat qui l'opposait à quelqu'un capable de lui arracher la vie. Car dans un sens, la jolie petite fleur qu'il tenait si près de son cœur était à même de le lui arracher si elle le désirait. Mais je me répète, Kyo ne doutait pas. Pour foncer, pour devenir ce qu'il était devenu, il ne devait pas douter de ses capacités, de ses pensées et de ses convictions et ce dans chaque aspect que la vie avait à lui présenter. Peut importe que l'adversaire, ou la femme dans ce cas, ne comprenne ou pas se qu'il ressentait. Ses émotions, ses valeurs lui était propres et personne en ce monde n'était aptes à les lui faire renier.

Il va de soi que.... cette vérité s'appliquait aux combats, aux duels moral et aux concours de calage de saké. Dans le moment, il se devait d'appliquer ses valeurs sur une situations qu'il n'avait jamais expérimentée. Mais pourquoi cela ne fonctionnerait il pas ? Et si c'était le cas, pourrait il seulement se blâmer d'avoir suivi à la lettre son plan de vie ? La réponse étant non dans 95% des cas, ils avait l'habitude de ne même plus ce poser la question. Et comme il en était certains cette fois aussi, il relâcha son étreinte, regarda dans les yeux toujours humidifier de Talim et après avoir certifié qu'il y avait bien dans ce regard ce qu'il recherchait, il se pencha légèrement et l'embrassa tendrement. Cette fois il ne fit pas les choses à moitié. L'optique n'était pas de taquiner la jeune fille mais bien d'exprimer ce qu'il ressentait au travers de ce geste. Le baiser de la veille s'était perdu dans les limbes de l'alcool, elle s'était même endormis moins de 5 minutes après celui-ci. Mais cette fois, une nuit de sommeil consolidait les pensées de Kyo et assurait un parfait contrôle d'elle même à Talim. Il ne se retira pas, prolongeant le baiser pour des raisons...

[Fin de la première partie]

... Indescriptibles. Pour la cause, admettons qu'il se sentait aussi bien que.... Pour la cause....admettons plutôt qu'il...

Vous l'aurez deviné, il n'était pas apte à décrire de façons précise, floue, ou même incertaine cette chaleur qui se dégageait de ce moment. Il ne pouvait non plus la comparer de près ou de loin à quoi que ce soit, à quelque situation qu'il ait vécu ou bien à un élément physique de ce monde. Au meilleur de ses capacités, il aurait pus l'exprimer par une seule chose. Mais comme cette choses était déjà en cours, il n'avait aucune raison de le faire.

Un baiser est un baiser. Pour en jauger la puissance, il faut le comparer avec lui-même. Peut importe la quantité de mot présent dans un dictionnaire, peut-importe le vécu d'un écrivain, cinéaste, chanteur, danseur, acteur ou conteur, il n'y avait pas de façons de faire part de ce sentiment sans en donner un. C'est pour cette raison que bien qu'il savait de quoi il s'agissait, il n'avait pas du tout estimé à sa juste valeurs l'intensité et la magie de ce geste. Certes, certaine précision quant à la nature, à la situation ou bien à la personne peuvent aider à classifier celui ci, mais à quoi bon classifier quelque choses d'aussi naturel et personnel. Mais les gens sont logique et donc illogique par le fait même. Tentant toujours de comparer leurs expériences avec d'autres expériences qui leurs sont propre, ou bien qui appartiennent à ses semblables. Mais pour les illuminés ici présent, qui ne perdent pas de temps avec ces futilités, je préciserai tout de même qu'il est agréable de donner et de recevoir ce présent. Et que bien qu'il ne soit pas possible de le comptabiliser d'une façons ou d'une autres, il restera toujours dans notre cœur, gardant sa valeur propre malgré le temps qui les effaces.

Mais avant d'en venir à l'effacement de quoi que ce soit, il va de soi qu'il en incombe de le vivre. C'est ce que Kyo faisait en ce moment. Il savourait l'instant. Faute de chose agréable dans son répertoire, il pouvait au moins apprécier le peu de choses qui lui faisait ressentir du bonheur. La subtilité frappante des lèvres de Talim comparée au siennes. La douceur et la fraicheur, le goût sucré qu'elle avait naturellement. Ce n'était pas un fruit ni un dessert en particulier, juste quelque choses qui se savait sucré de nature. Peut-être que la petite coquine mangeait plus de pâtisserie que son petit corps mince ne voulait le laisser paraitre, ça il n'en savait rien. Mais quelque part en cours de création, les dieux....que dit-je....la Vie lui avait donnée cette saveur agréable. Peut-être que le grand-père de Talim avait lui aussi la chance d'en témoigner via sa femme. Ces choses viennent parfois avec la naissance...

...Et se dégrade selon ce qu'on en fait. Ce fait s'appliquant à tout les talents innés, il était possible de deviner que Talim n'avait pas donner au premier venu ce qui était sien. Pour savoir s'il c'était vraiment le cas, il allait devoir lui demander un jours...Mais ce n'était pas de premier ordre.

Ce qui l'était, comme par exemple mettre fin à ce baiser, le concernait un peu plus. Il ne savait pas combien de secondes cela avait duré, le temps s'étant stopper de lui même depuis déjà longtemps. Il ne voulait pas non plus y mettre fin, mais il s'arrêta tout de même car toutes choses a une fin. Et puis il avait toujours un contact avec la mains de Talim qu'il n'avait pas lâchée depuis son réveil. Il était toujours avec elle. Mais suite à ce rapprochement, il ne trouva pas de points de repère précis ou poser les yeux, pas même le jolie regard de Talim qui le captivait tant. Il regarda donc un peu en biais, vers le plafond. Était il possible qu'il fuit ? Son regard de démon, qui tuait les hommes dénué de conviction en un instant, fuyait la scène de son crime et pas qu'un peu ! S'il eut bien été une partie de son corps qui ne lui obéissait plus, jamais il n'aurait cru que ce fussent ses yeux. Si rouge, si crépitant de vie et de désir, il était impossible qu'il n'arrive à leur donner l'ordre de se poser sur elle. Mais il eut beau y mettre les efforts qu'il voulait, il n'y arrivait plus.

Trouvant un peu désagréable ce sentiments, il avança un peu pour dépasser Talim. Une fois près des marches, dos à elle, il se retourna car il tenait toujours sa main et la position ne serait agréable pour personne si elle se prolongeait. Il ouvrit donc la bouche pour prononcer quelque mot, expliquer son geste, balancer une vanne, parler du beau temps ou juste s'excuser. Mais il n'en eut pas le temps car l'état second dans lequel il se trouvait lui avait fait perdre les pédales au points ou il ne voyait même plus ou il mettait les pieds. S'il avait décider de regarder le plancher au lieu du plafond aussi...

Hummm... !

Mouais, il aurait pus faire mieux... que de tomber en bas des escaliers. Heureusement (Ou... pas ?) , il renonça à la main de Talim juste avant de partir à la renverse dans une chute sans queue ni tête qui s'acheva dans la cuisine. Contrairement à ce qu'on aurait pu penser, ce n'était pas un suicide ! Devant le regard ébahi de l'ainé de la maison qui avait échappé son toast du coté beurré, et celui de sa femme qui elle ~~avait perdu son dentier~~, Kyo se retrouvait... dans un sacré pétrin.

Avenir.... Incertain !

Je m'en vais... Je m'en vais ? Ou est-ce que je m'en vais ? Tu me fou dehors ?!

Tout ce que Talim trouva à faire, c'était de sourrir, tout comme cet homme qui se tennait si grand devans elle. En un instant qu'elle ne vit pas arriver, la jeune fille se retrouva entourée. Non seulement du bras de son visiteur, mais aussi d'une joie et d'un pincement de réponfort qu'elle n'avait jamais expérimenté au paravant. Étant guérit de ses précédante inquiétudes, Talim reguarda droit dans les yeux Kyo qui avait mit fin à cet entrainte. Elle n'était pas si loin de se doutter de la suite des évènements, mais cela ne l'empêchas pas d'être agréablement surprise.

Elle accepta sans broncher ce raprochement spontanné. Bien que sont premier était très, très flou dans sa tête, celui si était clairement différant. Talim ce laissa embrasser, ne trouvant d'autre moyen de lui démontrer qu'elle était d'accords. Elle ne pouvait faire autrement que d'éseiller de comprend ce qu'elle ressentait. Bien évidament, elle n'y parvint pas. Ses sentiments était un peut mélangé, mais elle pouvait parcontre déterminer très clairement un d'entre eux. Même si elle ne l'avait jamais vécue au paravent. Oui, en l'espace d'une seul journée, elle était tombée amoureuse. Il ne fallait pas chercher comment ni pourquoi, c'était ainsi et elle devrais vivre avec tout simplement (non en fait, ce n'était pas simple. Mais bon, j'ai déja entendu quelque part que le meilleur moyen de simplifier quelque chose, c'est ironiquement, de ne rien compliquer.) . Personnellement, je croie que si il lui avait dit qu'il partirait très très loin, Talim l'aurait suivit malgrès tout.

Bon, pour en revenir au moment qui était alors présent, m'enfin, il ne l'était plus.Et oui, toute bonne chose ont une fin, heureusement! Les bonne choses ne serais plus si spécial ni convoité si elle devait être sans exeption éternelle. D'où sont califiant de ''bonne chose''. Bref, apres tout cela, Kyo ne sut où reguarder, Talim non plus d'ailleur..Elle ne remarqua rien dutout, perdu sur son petit nuage de joie. Se qu'elle vit par exemple, ce fut une remarquable chute. Effectivement, il avait trouver un moyen de débouler les escaliers ce Samouraï. Jusque dans la cuisine en plus de tout ça!

Un peut inquiète, mais quand même un peut amuser par les quelques fois où cet garçons arrivait à tomber, la jeune fille se précipita en bas de l'escalier ( en le décendant, pas en le déboulant bien sur) rejoindre l'homme au yeux rouge. Devant le reguard amusé (mais quand même étonné) de ses grands-parents, Talim tiras l'homme au sol par les bras pour l'ammener hors du champ de vision des ainés. Pourquoi? Aucune idée, elle le fit pareil. Une fois son action accomplie, elle s'agenouilla et posit la tête de Kyo sur ses genous. Dans un rire léger elle articula:

Alors sa pour une chute! Tu aime bien le sol n'es-ce pas? Tu n't'es pas cogner trop fort j'espère...

Enfin, il la reguarait dans les yeux, cela lui donnait l'occasion de sourrir.Puis, elle l,embrassa sur le front.Elle dit alors:

Hum, devrions nous aller manger? Mais si tu n'a pas faim, tu n'a qu'a le dire...

Aucune réponce

Après, quesqu'ont pourrait faire?

Nous éviterons de décrire la descente tumultueuse des escaliers de bois couper net et d'une solidité remarquable pour que le lecteurs n'aie pas de traumatisme ultérieur à la lecture de ce message. La phobie des escaliers, plus communément appelé Escalophobie...ou pas... est en effet assez dure à soigner et très peu utile dans le quotidien des mortels. Mais ce n'est pas cette absence de description qui doit vous pousser à croire que Kyo ne souffre pas. Il y avait très précisément 17 marches et chacune d'entre elle avait laisser une marque sur son corps. Il ne ressentit pas vraiment les dégâts, mais il pouvait sentir l'emplacement ou il aurait plusieurs bleu dans quelque heures. Mais passons sur les détails mineurs.

Quand il eut finit de réaliser qu'il avait fait cette chute, Talim était déjà devant lui et le tira rapidement par les bras pour une raison qu'il ne comprit pas tout de suite. Mais avant de subir cette remonté, il aperçu le regard étonné de la grand-mère de Talim alors il se laissa tiré pour déguerpir de son champs de vision au plus sacrant. Son laisser-allé le catapulta sur les genoux de celle qui l'avait sortit de (et envoyer dans) ce pétrin. Les choses bougeait vite, il était toujours légèrement assommer quand finalement il put faire un focus sur la situation.

Il était assis, plus ou moins, sur les genoux de Talim. Il espérait que c'était cela du moins, alors il releva la tête pour s'en assurer. C'est à ce moment qu'eux lieu le premier contact visuel avec les beau yeux de la jeune fille qui l'avait pousser à se jeter inconsciemment en bas des marches. Quand il la regarda dans les yeux, Talim souris. Cette fois, on dirait qu'elle contrôlait la situation. Mais ladite situation restait un peu déplacé tout de même. Pour évité de créé un froid, elle rigola un peu de ses piètres qualité de samurai puis enchaina avec un brise glace. Un baiser sur le front.

Aouch...

Oups, Kyo espéra qu'il avait passer inaperçu celui là. Mais il s'en foutait un peu, beaucoup, passionnément, à la folie rendu là. Il était content que la jeune fille lui retourne, peu importe la façons, son baiser volé. Elle en était sûrement heureuse alors, car autrement il aurait plutôt eue droit à une gifle, ou peut-être même que c'est elle qui l'aurait pousser en bas des marches. Mais elle souriait, alors qu'il y a un instant elle était sur le bord des larmes. Il souffla subtilement, content d'avoir fait pencher la balance du coté de la fin heureuse, ne serait-ce que légèrement.

Puis il décida que pour ce matin il avait vécu assez d'émotion forte. Il se prépara (mentalement) à se lever quand Talim lui proposa de la nourriture. Il ne répondit pas car il pensait répondre non. Mais une fois debout, elle lui demanda ce qu'ils allaient bien pouvoir faire après. Ne connaissant pas la réponse à cette question, il décida qu'une fois de plus il allait s'asseoir à table et manger. Tentant tout de même de faire comprendre son désintérêt pour la nourriture, il jugea bon de mentionner :

Tu devrait manger quelque choses, je ne croit pas que tu puisse te permettre de perdre du poids

Et voila, les pendule était à l'heure. Dans sa tête. Lui était un samurai maladroit et elle une combattante maigrichonne. Content d'avoir rendu la réplique à Talim, il la suivit donc vers la cuisine, redescendit les marches et s'installa au même endroit qu'hier. Pour se venger, son estomac émit un bruit de... de ventre qui a faim. *Brlmlmlm*. Environs comme ça. Il avait l'habitude de ne pas se tenir au silence, normal car il ne mangeait jamais. Mais cette fois il aurait pus s'abstenir ce salopard. Après ses yeux qui refusait de lui obéir, son ventre faisait des siennes. Il allait donc devoir manger pour vrai s'il voulait avoir la paix.

Ce qu'il ne savait pas c'est que les papillons n'allait pas partir, peut-importe la quantité de nourriture qu'il allait ingurgiter.

Il mit quand même les efforts là ou il devait être. Un toast et un verre de lait, rien de plus, rien de moins. Il était prêt à accomplir n'importe qu'elle tâche avec cela, alors a quoi bon s'encombrer d'un poids supplémentaire. Puis il attendit que les autres ait finit de manger, ce qui ne fut pas bien long car ils avaient commencés avant lui. Finalement, le repas avait passé assez vite. Cette étape terminé, il se permit de se lever de table et alla regarder par la fenêtre.

Après avoir mangé son petit déjeuné (plutôt léger même), Kyo alla se trouver un endroit plus ou moins confortable près de la fenêtre puis, il s'y assit. Talim, elle ayans un appétit un peu plus prononcé, prit 10 minutes de plus que lui (m'enfin, elle discutait avec ses grands-parents en même temps han!). Après avoir terminé, elle ramassa son assiettes et celle de ceux qui l'avais élevé, elle lavas ensuite la cuisine rapidement. Tout était comme neuf! (Sauf la table). Le grand-père fit vite de le remarquer.M'enfin, il n'en déduit pas tout a fait la réalité.

Cette table n'est plus ce qu'elle était...Talim ma chère, j'aurais un service a te demander. Prend cette bourse et va acheter une nouvelle table, de la même grandeur que celle ci veux-tu? Notre invité à l'âme d'une personne capable de t'aider à la transporter, heh.

Et sur ce, il lança un clin d'œil au deux jeunes gens. Talim, avec toute la reconnaissance qu'elle portait a son vieux père adoptif, accepta de la tête, prit la bourse et Kyo par la main qui lui, clairement, aurais bien rester assis . Mais il se leva quand même.

Les deux pieds dehors, sourire aux lèvres et Kyo derrière elle, Talim ouvrit grand les bras et dit joyeusement:

Aaah~! Le vent me dit qu'ont auras une belle journée aujourd'hui!!

Elle se retourna donc vers lui...Lui qui avait changé sans le savoir, la tournure de ses journées pour le restant de ses souvenirs, et elle lui souri, encore.

Nee nee, Kyo! Attrape-moi si tu peut! Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 405121

Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 405121

Oui, effectivement, c'était soudain comme proposition.Mais elle avait envi de courir le plus vite possible, juste comme sa. Ça lui donnait une raison...''Valable''?

Le décor était légèrement enneigé. La soleil du matin faisait fondre graduellement la mince couche de neige qui était demeuré au sol pendant la nuit.

Talim ne s'arrêtterais pas de courrir de si peut, elle continurais jusqu'a se qu'ont l'en empêche.

Kyo était sur le bord de la fenêtre, et bien confortablement assis sur le faible rebord fragile de la "sortie de secours", il tentait tout simplement de s'approcher un peu plus de la lumière. Au réveil, il fuyait ses rayons qui, trop cru, lui perçait les paupières. Mais dès le petit matin, il savait apprécier la chaleur du soleil et ses reflets d'un blanc pur qui lui donnait l'énergie de vivre sa vie. Et de la vivre aussi librement qu'un des millions de rayons qui émanait de l'astre céleste. Là ou son regard se posait il pouvait y être. Là où sa chaleur réchauffait les lieux, il pouvait agir avec toute choses selon son bon vouloir.

Au dehors, il y avait des cendres qui crépitaient dans le reste de feu de la veille. Il y avait un petit puits tout près de la forêt. Et puis il y avait la forêt en elle même. En regardant assez bien, il pouvait voir l'endroit ou ils avaient couper des arbres puisque... puisqu'il n'en restait plus beaucoup dans ce coin là. S'il revenait ici un jours, il allait devoir replanter un peu. REPLANTER O.o ?! Sotte pensée, il valais mieux s'intéresser à autre choses avant que la situation ne prenne le dessus sur sa personne.

Sans se retourner, il constata que tout le monde mangeaient encore puisque sa parlait sans arrêt. Lui n'en voyait pas l'intérêt. Les repas devait être bref et simple. Manger pour survivre, non comme une activité de famille, de groupe. Il voyait la choses ainsi, mais c'était sûrement parce qu'il avait l'habitude de manger seul... difficile de discuter dans ce cas. Et puis il n'aimait pas manger non plus, il préférait donc inévitablement en finir au plus vite pour passer à autre choses. Mais le quelque peu de politesse qu'il avait appris dans cette maison lui indiquèrent qu'il valait mieux s'assoir et rester silencieux sans déranger le repas.

*Et puis on ne parle pas la bouche pleine *

Finalement, ils se levèrent et dans un cliquetis métallique, les couvert se virent empiler puis déplacer dans la cuisine. La notion de vaisselle n'existait pas pour lui, il n'avait jamais eue de "maison" et donc jamais il n'avait laver, sécher, ranger de couverts. Il avait déjà aperçu les serveuses de restaurant emporter ses restes, mais il ne savait pas ce qu'il en faisait. tout sa pour dire qu'il ne se leva pas quand Talim et ses grand-parents libérèrent la table. Il ne se retourna qu'au moment ou la voix du vieil homme retenti dans la pièce.

Il avait remarquer.... pour la table....

Mais bon, il ne semblait pas plus fâché qu'il ne le fallait. Cependant, il réquisitionnait les services des deux jeunes gens pour en ramener une nouvelle. Un peu mal de refuser, Kyo se dit qu'il pouvait bien faire ça pour cet homme. C'était un peu de sa faute aussi. Juste un peu.... Avant de pouvoir donner une réponse qu'il n'avait pas l'intention de donner, Talim vînt le prendre par la main et l'entraîna au dehors.

Le vent soufflait tranquillement ce jours là. Et le soleil était encore haut dans le ciel, presque à son zénith. Si ce n'avait été des quelques flaque d'eau et des tout petit tas de neige sur le sol, on n'aurait eue peine à croire qu'il avait neigé la veille.... Mais un instant ! Comment toute cette neige avait elle put fondre en une seule soirée ?! Il y avait quelque choses de pas très net avec la température ici. Kyo se demanda s'il en était de même ailleurs. Et il s'interrogeait surtout qu'en à la cause. Il se promis de s'informer sur la situation une fois arrivé en ville. Pour l'instant, il était bien dans ce climat. Juste assez chaud pour que son accoutrement étrange de samurai le tienne au chaud.

Et elle semblait elle aussi bien à son aise. Le vent soufflait dans ses cheveux et il flottait dans la brise avec un naturel presque troublant. Talim était assurément une femme des vents. Elle devait vraiment être en pleine confiance de son élément puisqu'elle osa lancer un défi au Samurai. Il faut savoir ici que tout phrase dîtes avec la plus fine pointe de malice sonnait à ses oreilles comme un défi. Que ce soit un homme ou une femme, si l'intonation, la formulation et l'intention était moindrement tentante, il se devait d'y répondre. Question d'honneur, de code de conduite. La voix du Bushido guide tout les samurai, peut importe d'où ils viennent, peut-importe où ils vont.

Donc pour l'instant il lui suffisait de rattraper la jeune fille (sans blesser personnes) et le tour serait jouer. La veille, il avait perdu sa bourse à cause d'un manque d'attention et surtout parce qu'il l'avait sous-estimé. Et puis il n'en avait vraiment rien à battre de ses pièces d'or. Il n'était donc pas revenu sur la situation, ni dans sa tête, ni dans ses mots. Mais cette fois, il y avait quelque choses à gagner et rien à perdre. Mais surtout à gagner. Il y à de ses choses gratuite dont il savait très bien profité. Il ne vivait presque que de cela de toute façons et il en était très heureux. Si seulement il pouvait rattraper la demoiselle rapidement, il serait à ses coté de nouveau plus vite qu'il ne l'aurait espéré. Au delà du défi planait un désir grandissant à chaque seconde ou il là voyait courir loin de lui.

Mais.... ce n'est pas qu'en y pensant qu'il y arriverait. D'ailleurs elle était déjà très loin devant lui. Eussent il été de rapidité équivalente et de stamina semblable, elle serait même considéré comme inatteignable. Mais la vie n'allait pas ainsi....heureusement. Plusieurs autre facteur indépendant de la volonté humaine forcerait son corps à stopper son mouvement tôt ou tard. Tout dépendant de son envie de courir mais aussi son envie d'être rattraper. Car on ne lance jamais un défi pour le simple plaisir de le lancer. Inconsciemment, le but réel du défi est la défaite de l'objectif. Tout en marchant lentement vers Talim, Kyo se demandait pourquoi elle y voyait un intérêt. Si elle voulait se faire attraper elle n'avait pas besoin de courir aussi loin.

Il ne la voyait plus désormais. Elle était parti en courant sans vraiment se retourner jusqu'à ce que du haut d'une petite colline elle lui lance un regard joueur et redescende le montant opposé deux fois plus vite qu'elle ne l'avait monté.

Bon, la journée est commencer !

Kyo leva les yeux au ciel. Quand il rabaissa son regard, il n'était plus là lui non plus. Où était il ? Pas très loin. Mais pour être le plus précis possible, disons qu'il était lui aussi de l'autre coté de la colline. Dans ce champs de Marguerite détrempé, il y avait donc deux personnes. Une jeune fille qui courait, le sourire au visage et les yeux remplis de joie. Et un homme qui lui aussi souriait, bien que personne n'aurait pus le confirmer puisqu'il n'était pas visible. Il était là, ici et à cet endroit aussi. Mais comme le vent, il était invisible à l'œil nu, imperceptible à l'oreille et surtout, intouchable !

....Normalement

Mais Talim n'était pas normale. Elle était plus, elle était non seulement très sensible au sensation, mais elle semblait vraiment avoir une affinité élémentaire de vent. Mais ça il le savait bien. Il l'avait senti et remarqué dans ses déplacements, dans sa respiration. Bref, il savait qu'elle savait. Mais savait elle qu'il savait ? Peut-importe, il aimait bien rester cacher comme sa, traquant sa proie par l'instinct et rien d'autre. La pauvre, elle réalisait surement en ce moment que Kyo était bien moins sage et calme qu'elle l'avait vu jusqu'à maintenant.

Et lui s'en réjouissait Il courait à toute vitesse d'un coté comme de l'autre, entourant à peu près toute la zone ou se situait Talim. Comment s'y prenait il ? Qui sait, mais il le faisait tout de même. Sa vitesse de combat dépassait la perception humaine et il connaissait l'art du Ninja en partie. Disons que c'est comme cela qu'il passait inaperçu même en plein milieu d'une plaine. À tout moment il était prêt à sortir de sa cachette pour surprendre Talim et ainsi terminé cette partie de chasse. Mais il ne voulait pas mettre fin au jeu, et de toute façons elle n'avait toujours pas remarquer qu'il était présent. Elle continuait de courir innocemment. Puis elle regarda en arrière et remarqua que depuis qu'elle avait descendu la colline elle n'avait pas vu Kyo. Il y a fort à parier que c'est pour cette raison qu'elle ralenti la cadence à ce moment. Elle n'était peut-être pas épuisé, mais concerné ? Il n'en faisait aucun doute.

Pourtant lui courait toujours à sa façons, pour rester invisible et faire duré le plaisir. Mais il ne voulait pas la faire souffrir non plus et c'est pour cette raison qu'il songeait lentement à stopper ce petit manège. La jeune fille des vents marchait maintenant en sens inverse, elle revenait sur ces pas. Est-ce qu'elle regrettait son idée de départ ou bien voulait elle simplement se rapprocher de lui. En innocence de cause, Kyo se dit qu'il était maintenant temps de refaire surface. Mais juste au moments ou il courrait faire elle dans son angle mort, il changea d'avis et sauta bien haut par dessus sa tête. L'effet fût immédiat, le soleil disparut pendant une fraction de seconde et elle se retrouva dans l'ombre. Dans l'ombre de quoi, elle ne le savait pas du tout. Elle savait seulement que vu son emplacement géographique, il s'agissait soit d'un oiseau énorme soit de son imbécile de Samurai qui jouait à qui sait quoi XD

Tout d'un coup, une idée étrange lui était venu à l'esprit. Sadiquement, il ne referait pas surface tout de suite. Son passé lui rappelait à l'instant qu'il y avait une façons de procédé dans de telle situation et il comptait bien la prendre en considération.

-Flash Back-

[Plaine de Sekigahara, 10 ans plus tôt] La guerre fait rage entre deux partie, Kyo lui n'est dans aucun des deux camps. Ce n'est pas faute d'invitations, les dirigeants des deux clans lui ont offert des sommes exorbitantes. Mais il n'était pas plus attiré par l'argent à l'époque qu'il ne l'est en ce moment. Pour lui, la seule raison de participer à cette guerre est de faire le plus de victime possible. Car en plus d'avoir accès à des centaines et des centaines d'homme très rapidement, il n'est même pas considéré comme un criminel. De toute façons, il était déjà trop tard sa renommé de l'homme au 1000 victimes était déjà établi bien avant ce jours.

Il est lui aussi sur une colline ce jours là. Une colline bien particulière. Elle lui donne l'avantage de voir loin devant lui et d'avoir une hauteur d'avance sur ses ennemis. Mais en contre parti, la colline en elle même est composer de beaucoup de ces "ennemis". Une multitude de corps, de dépouille, de cadavre.... bref des soldats mort et....décapité. Cette pile la est la sienne. Les trois autres tout près sont celle de ses coéquipier. Ensemble, ils ont rasé la zone en moins d'une heure et maintenant il se prélasse sur leurs collines respective en regardant ce qui reste de combattant s'entre-tuer sous leurs nez.

La tête dans les nuages comme à son habitude, Luciole joue avec le feu. Il brule tout ce qui lui passe sous la mains pour passer le temps. Que sa soit un crâne, un bras ou un oiseau qui vole trop bas, le funeste destin de toute matière entrant dans son périmètre est l'incinération. Sauf les petite chenilles. D'ailleurs il viens d'en apercevoir une. Comme elle sont rare sur les champs de batailles, il décide de la suivre et de la tripoté avec un petit bâtons. Son existence se résume à cela. Bruler, flâner, tuer.

À son opposé, Akira sculpte dans la glace quelque choses de bien incertain. Un zoom sur cet amas de glace difforme nous permet de remarquer qu'il s'agit peut-être d'une forme humaine. Si nous nous attardions un autre 10 minutes, nous constaterions que ce qu'Akira essaie de sculpté maladroitement est une statue à effigie de Kyo. Mais bon, passons sur les détails. Ce petit gamin d'à peine 16 ans était suit les traces de Kyo depuis que le plus grand samurai de tout les temps à bruler son village et tuer ses parents. Pour lui, Kyo est le maîtres de l'univers, le guerrier absolu et l'homme le plus fort du monde. Malgré les circonstances désastreuses de leur rencontre, Akira voue son existence à Kyo chaque jours ou le soleil ce lève. Il aspire à devenir aussi fort que lui et rêve du jours ou il pourra combattre en duel contre son idole.

Bontenmaru, toujours sous formes bestiale, mange un pied. Ou peut-être est-ce une jambes ? Peut-importe, il le mange comme une bête affamé. Cette homme qui normalement mesure 8 pied 10 pouce avait la fâcheuse habitude de perdre le contrôle de son corps quand il combat trop longtemps. En lui sommeille un ours, ou un chacal. Ou un ours-chacal ! En tout cas il va de soi qu'un animal sauvage hante son esprit et son corps titanesque lui donne presque l'air crédible une fois à quatre pattes.

Sur la quatrième il y a un.... ? En tout cas, sa svelte silhouette n'est plus là ! Sa majesté Akari n'était nul part en vue. Pourtant, des quatre sacré du ciel, c'était la plus raisonnable.

*VviiiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIIIIIIIIooooooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOUMMMMMMMMMM !*

À quelque centimètre du visage de Kyo, une lance de chaman vient de trancher l'air à une vitesse fulgurante. Ceci expliquait cela. Une fois de plus Akari tente d'atteindre son prince au visage. Car Kyo avait un jours fait la promesse débile de la marié si elle arrivait à le blesser à cet endroit. Une fois de plus cependant, il avait esquiver avec aise le coup de bâton et sans se soucier d'elle, il continu de fumer sa pipe tranquillement. Jusqu'à ce qu'une brise dans son cou lui donne des frissons dans le bas du dos. Il en échappe sa pipe et se retourne en colère. Cette femme savait sans aucun doute comment faire perdre ses moyen à Kyo, et ce n'était pas la première fois qu'elle lui soufflait dans le cou de cette façons.

Kyo : Tu veut mourir ?!

Akari : Non pourquoi ? Vous n'aimez pas sentir mon souffle chaud sur votre peau tendu Kyo-sama ?

Kyo : ..... Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 48353

Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 48353

Akari : Tu sait, je peut prendre soin de toi si tu as besoin de te détendre. Je connais bien le corps humain je ne suis pas la guérisseuse du groupe pour rien. Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 182376

Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 182376

Kyo : Sans façons Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 283891

Akari : Il y a un point de décontraction ici, puis un ici sous les oreilles puis aussi un ici près du...

Tout en décrivant ses actions, Akari tâtonne Kyo dans le cou, dans le dos et dans les cheveux. De loin, Luciole, Bontenmaru et Akira regarde la scène avec de gros point d'interrogation dans leurs yeux. Kyo quand à lui a une veine de la taille d'un doigt qui est proche de lui exploser sur la tempe.

Akari : Ah oui, les tempes sont aussi très sensible au caresse mon petit Kyo !

Tout en approchant sa main, Akari approche son visage de façons assez peu subtile. Désormais, les trois autres guerrier sacré regarde Kyo avec des yeux exorbité. Bontenmaru a lâché son repas.

Akari : Et bien sur... la bouche est...

Maintenant qu'elle est à deux centimètre de ses lèvres, les accolytes ont la gueule qui pendent au sol. Kyo lui à les yeux fermer et....

*CRUSH!!*

Donne un coup de pied directement dans les noix de son agresseur !! Bien fait pour lui, ce travelo apprendra à ne pas laisser sa garde ouverte ! Akari tombe sans connaissance sur le sol. Les miches de pain qu'elle utilise pour se faire croire qu'elle à une poitrine tombe de son Yukata.

Akira : Bien fait pour toi, Salope !
Luciole : Ça devait arriver....
Bontenmaru : O______O..... *jappe!*
Kyo : Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim] - Page 2 283891

-Fin du FlashBack-

Conclusion ? Y avait t-il seulement une conclusion à ce souvenir douteux ? A priori non, et même en y repensant très bien on n'y verrait qu'une scène étrange entre les 5 hommes les plus fort du monde. Il est vraie que Kyo se sentait nostalgique depuis peu, mais si ce souvenir était revenu à lui en ce moment précis il devait bien y avoir une raison. Personnellement, il ne voyait pas en quoi cela pouvait lui venir en aide. De plus, Talim était maintenant retournée jusque sur la montagne et cherchait du regard le samurai qui l'avait abandonnée. Les rôles étaient de nouveau inversés, maintenant on aurait dit que c'était lui qui se cachait et elle qui le cherchait désespérément. Tant pis s'il n'avait rien tiré de ses propres pensée, il devait maintenant la rejoindre et au plus vite, la partie avait assez duré.

À grand pas, il escaladait la colline. Son ascension lui paraissait longue, interminable même. Juste en tournant autour de Talim à toute vitesse, il devait avoir parcouru une dizaine de kilomètres. Mais la courte distance qui le séparait d'elle en ce moment lui semblait décuplé, et ce n'était en aucun cas dû à la pente abrupte qu'il escaladait presque. Son souffle était coupé comme s'il était à des kilomètre d'altitude et même plus puisque pour lui ce n'était même pas un problème. Emplis d'inquiétude quand à son comportement, il arriva enfin en vu du sommet. Juste avant de laisser sa tête dépasser de la cîme (Bon Ok c'est juste une colline mais bon >_>), une roche heurta son crâne de plein fouet.

Une roche imaginaire bien sur, il n'annonçait pas d'averse de gravier cette journée là. C'était une de ces roches qui vous fracassent les méninges pour vous faire réfléchir rapidement avant qu'il soit trop tard pour agir. Comme par exemple cet éclair qui traversent l'esprit du pompier lorsqu'il réalise qu'il reste encore une personne dans l'immeuble en feu. Comme pour l'homme qui quitte son train pour ne pas quitter cette femme, alors que les portes sont déjà en cours de fermeture et qu'il à déjà payer son billet une petite fortune. C'est un flash nerveux qui prend le contrôle du corps humains, qui le force à réfléchir à une vitesse excédant ses propres capacité et qui automatiquement le remet sur la voix qu'il doit choisir. Quand un homme s'assume, il ne regrette pas ces moments après coup. Kyo ne le regretterait en aucun cas non plus, car il comprit pendant cette fraction de seconde le sens du souvenir qui lui était venu plus tôt. Il comprit pourquoi il portait au dos de son Kimono ce symbole depuis toujours.

*Tout dans ce monde n'est qu'une question d'équilibre....*

Le Ying et le Yang, le ciel et la terre, le bien et le mal. Absolument toutes notions, soit elle précise ou vague, devait absolument être balancé pour survivre à l'usage du temps. Le jour, la nuit, L'été et l'hiver. Tant de facteurs qui depuis la nuit des temps s'opposait indiscutablement dans le but simple et précis de garder la balance intacte. L'homme aussi en est un exemple, mais un exemple incomplet. Chaque humain possède sa part de bien comme de mal, on ne peut le nier. Mais ce n'est pas tout, car chez certain l'une des deux forces prédomine. C'est pour cette raison que les humains sont nombreux, qu'ils se reproduisent. Car à eux seul, ils ne peuvent régir leur propres équilibre. C'est aussi pour cette raison qu'il s'unissent. Et fatalement, c'est peut-être ce qui causera leurs perte. Des siècles de vie communautaire prouvait certes qu'il y avait un moyen de survivre, mais à quel prix ?

La balance chez les humains suit une cadence bien précise. 2 pas en avant, 3 pas en arrière. On pourrait croire que cette rhétorique n'est pas mathématique, puisque les humains on tout de même su évolué. Mais ils n'en est rien, la seule raison pour laquelle l'homme n'est plus ce qu'il était, c'est qu'il apprend de ses erreurs. Et donc, il ne repasse pas sur les même pas à chaque tentative, il cherche plutôt à trouver une variable qui lui permettra de se hisser à un nouveau niveau duquel il ne pourra plus redescendre. Rien n'est inéluctable, une grosse bêtise peut facilement effacer des années de dure travaille, mais nous ne nous attarderons pas plus longtemps sur le sujet.

En ce moment, il n'est question que d'un Mibu, à savoir un race supérieur qui à su évolué à un rythme beaucoup plus rapide du à son mode de vie différent de celui de l'homme. On ne parle que d'un samurai qui depuis toujours balance parfaitement son existence en concordance avec la nature, en parfaite symbiose avec lui même. Cependant..... Il n'était plus seul désormais. Qui plus est, la haut sur la colline il y avait une humaine. Une de ses humaine qui, comme décrit plus haut, est en lutte constante contre elle même. Qui cherche à atteindre un niveau de stabilité et qui souhaite ensuite y rester le plus longtemps possible. Alors même s'il n'était pas concerné par ce combat qui hantait cette race chaque jours que dieu créé, il avait le sentiments que pour elle il devait agir de façons équilibré. Réparé son erreur, remplir le trou béant qu'il avait créé dans son petit cœurs en la laissant seul sur la colline. Parce que c'est de cette façons qu'il la rendrait heureuse.

Fin de la partie théorique, passons maintenant à la pratique.

Elle ne l'avait toujours pas remarquer. Mais elle savait qu'il était là. Le fait qu'elle lui tourne le dos en disait long. Mais elle ne le faisait pas volontairement. Quand Kyo était arrivé au sommet, elle était déjà dans cet position. Et maintenant, elle hésitait à en changer sans aucun doute car elle ne savait pas trop quoi penser de cette situation. Mais qu'aurait elle fait de toute façons si elle l'avait vu, comme sa, planter devant elle ?

C'est pour cette raison qu'il marchait lentement vers elle. Il avançait à pas léger, pas subtilement mais de façons posé. Il avancerait comme sa jusqu'à ce que son ombre englobe la sienne, puis la dépasse finalement du à sa taille supérieur. Vous l'aurez deviné il, était maintenant très proche d'elle. Il aurait d'ailleurs eue du mal à être plus proche car maintenant que ses bras encerclaient les épaule de la jeune fille, il n'y avait plus l'espace d'une feuille de papier entre les deux jeunes gens sur la colline. Le vent lui même n'y passerais pas et ne pourrait le séparé d'elle. Car il la serrait très fort dans ses bras et il n'avait aucunement l'intention de la lâcher, qu'elle soit fâché ou heureuse, souriante ou sur le bord des larmes.

Ils étaient dans la même position que la veille dans la salle à manger, sauf que cet fois ils étaient debout, en plein jours et surtout, à jeun. Donc maintenant qu'ils en étaient là, il n'avait qu'une choses qui traversait son esprit. Car bien que la scène de l'escalier POUVAIT en dire long sur certaine choses, connaissant la nature de l'homme qu'il était, ça pouvait aussi bien vouloir dire qu'il désirait se taper ce petit corps vierge dans toute les pièces de sa maison, pour ensuite l'attacher en saucisson et la laisser choir dans un coin du garde-robe pour ne jamais revenir.

Mais ce n'était pas le cas (Duh!)

Pour toute cette incompréhension et pour l'avoir fait patienter, il chuchota dans son oreille un son qui ressemblait à un "pardons". C'était bien peu mais ça allait devoir suffire car ce n'est pas ces mots qu'il avait en tête. Il trouvait étrange de les prononcer mots, car il ne l'avait jamais fait. Mais il connaissait leurs poids pour les avoir déjà reçut. Alors bien qu'un silence d'une vingtaines de seconde s'était déjà établi, sa voix fini par troué le mur du son pour finalement laisser cette phrase sortir de sa bouche : (Attention sa va faire mal !)

Talim, je t'aime.

Eeeeeeeeeeeeet...... C'est ce qui fut dit sur la colline. (Sa fait mal hein XD ?) Monsieur le samurai n'était point un poètes de nature ni de métier. Il n'avait même pas réfléchie à une façons plus jolie de présenté la choses car il n'aurait pas trouver en lui les ressources nécessaires. Mais au moins, il avait fait le point =D

Elle se retourna , toute seule dans ce champs de marguerite mouillé.

De magnifique marguerites, les plus belles de la régions, caché entre un sous-bois et une coline simplette. La jeune filles ne venait pas souvant jusque là. Elle ne s'éloignait jamais autant du chemain de terre battu que tou le monde emprunte.
La neige fondut qui était resté sur les pétales chatouillait, que dit-je, engourdissait complètement le bouts des orteilles de la jeune fille. Elle ne ressentait plus le vents autour d'elle, comme s,il était coupé par quelque chose. Curieuse de voire s'il n'avait pas seulement eu la flemme de monter en haut de la coline, elle revenait maintenant sur ses pas.

D'ailleurs, elle ne savait pas vraiment pourquoi une telle déseption lorsqu'elle ne vit pas la silouette de l'homme nul part. Oui, il l'avait embrassé, mais encore. Cela ne voulait rien dire. Talim savait très bien qu'en ville c'était monaie courante, d'embrasser les inconnus. Mais elle avait malgré tout attaché une certaine importance a ces lèvres...

Les lèvres d'un presqu'inconnu. Quelqu'un qu'elle avait rencontré le jour d'avans. Mistérieux, sombre, étrange même.
Qui la fesait agire différament, étrangement, inhabituellement... Pourquoi était-elle partie a courir aussi? La raison n'était pas vraiment celle dit plus haut, vous avez raison. Elle n'en savait parcontre, rien de plus. Peut-être en savait elle même moins que ce samourai. Pourtant, elle le cherchait toujours du regard, cet homme.

Ont ne peut calculer le nombre de pensées qui lui sont passé par les deux côté du crâne, mais laissé moi vous dire que c'était des choses toute plus déprimente que les autres. Non, son optimiste s'avais évaporé le temps que réflexion intense. Elle ne voyait aucun bon côté dans le fait qu'il soit partie.Evaporé. Inexistant.

Alors qu'elle s'en allait redéscendre d'un pas lourd, Talim fut stoppé par des bras qu'elle connaissait un peut.
Oui, les bras du samourai l'entourait de toute leurs capacité. Immobile, elle retenait les quelques larmes qui cherchait leurs chemains au dehors des yeux marron de Talim.Kyo dit une chose innatendu. Il le dit en un seul souffle, bref. Mais l'effet n'était pas aussi simple a expliquer que ces 3 mots.

Le coeur de la jeune fille s'arretta net, puis se mit a battre de plus en plus vite, comme s'il avait manquer d'oxygene pendant trop lontemps. Ces yeux cherchait une expliquation dans l'esprit, ses mains s'aggripèrent au grand bras qui l'entourait, et l'emplissait d'une grande chaleur.

Cet homme , elle ne voulait pas qu'il la lache, sous aucun pretexte. Mais elle se libera, contratictoire vous me direz, mais elle le fit quand même.

L'enfant des vents se retrouvait maintenant face a un samourai qui vagabondait le monde.
Plus vite qu'une flèche poussé par la force du vent, Talim apposa ses lèvres sur celle de l'homme qu'elle avait choisit maintenant de donner tout d'elle. Elle ne cherchait a se moment aucune expliquation du pourquoi se sentiment a l'egard de cette personne. Elle ne trouverais rien de toute façons.

Elle murmura un :Je t'aime, ne me quitte plus... que seul lui et son coeur pourrais entendre. Elle se colla ensuite sur ce dernier. Talim y resta longtemps, respirant au même ritme que lui et en écoutant battre leurs coeurs.

La petite leva les yeux, souriant a travers des larmes de joie claire.

Il faudrait aller chercher cette table, qu'on en finisse ahaha!! é u è

Elle agagea le pas vers la bas de la coline, et esperait en silence, qu'il lui prenne la main...

Sans savoir pourquoi, Kyo s'attendait un peu à cela. Du résultat surtout, car la réponse honnête l'avait frappé dans sa forteresse de solitude comme un boulet de canon qui détruit les dernier remparts d'un château qui jamais n'a vécu la défaite. Il savait qu'au final il aurait ce qu'il voulait, quand est-ce qu'il ne l'avait pas ? Seulement, il ne se doutait pas que Talim allait lui répondre avec tant de sincérité, il ne savait pas qu'elle ressentait la même choses.

Pourquoi avait il continuer à avancer vers elle dans ce cas, s'il ne savait pas si elle l'aimait elle aussi, si même elle y avait songer ? Surement qu'au yeux de tous, ou plutôt de ceux qui aurait réfléchi un peu à la situation, ses agissement était égoïste. Il avait profiter de l'hospitalité d'une innocente jeune fille, puis il avait entrepris de satisfaire ses désir sans se soucier réellement de ses antécédent puisqu'il ne la connaissait pas. En ville, comme dirait Talim, c'était choses courante, c'est ce qu'on appelle la dureté de la vie.

Hors, Kyo ne venait pas de la ville. Il n'avait même jamais vécu là bas. Sa n'excusait pas ses façons, sa n'excusait pas ses désir à peine fondé non plus. Mais pour lui, attiré une femme dans un complot bâtard pour en soutiré du plaisir n'avait aucun sens. Il tirait son plaisir ailleurs, dans les combat, dans l'exaltation du champ de bataille, dans l'alcool, et dans les femmes inconnue auquel il ne devait rien. Alors pourquoi s'enticher d'une femme alors qu'il avait tout ce qu'il avait besoin pour continuer sa vie de samurai errant ?

Il ne le savait pas. Mais en vertu de la réponse qu'il avait reçut, il était clair qu'il avait fait le bon choix. Il va de soi que désormais il devrait s'occuper de cette petite personne dans ses bras. La chérir, la réconforter et lui octroyer un peu de son temps qui contrairement au sien avait beaucoup moins de valeurs. Et en échanges, cette mortelle allait en faire de même... possiblement. Qui sait, il n'en savait rien. Mais il n'avait rien à perdre en écoutant son coeur.

Peut-être qu'il se cherchait de la compagnie, peut-être était ce une motivation. Il ne savait pas ou il allait, il ne savait plus, depuis bien longtemps. Son dessein était déjà accomplis, son destin qui à l'époque avait tracé dans l'histoire une chemin de sang avait trouver son sens dans le massacre de son peuple. Et maintenant ? Kyo n'avait pas d'ambition, pas de rêves qu'il n'avait déjà accompli. Un peu trop fier de lui peut-être, un peu trop conscient de la porté de sa propres force. Dans tout les cas, ce qu'il avait considéré toute sa vie comme un objectif n'était plus qu'un souvenir, un étendard flottant sur la cime du mont Fuji.

Il serra Talim une dernière fois avant de la laisser vagabonder à ses coté.

Il faudrait aller chercher cette table, qu'on en finisse ahaha!! é u è

Kyo sourit. En voila une bonne idée. Après avoir combattu toute sa vie pour la paix, pour son titre du plus fort, pour ses amis, et pour lui même, il allait maintenant aller... chercher une... table.

Pour elle.

Et en cet instant il était tout à fait certain que ses sentiments ne l'avaient pas trompés. Car cette simple tâche le satisfesait pleinement, le remplissait à nouveau. Et si au final il pouvait avoir un sourire en retours, jamais il n'aurait vécu de satisfaction plus honnête. Sans plus attendre, il fît les quelque pas qui lui permirent d'être à ses coté, puis il glissa sa mains dans la sienne pour que tout au long du voyage elle sente qu'il était là pour elle... même pour une simple table !

[Suite : Oran => La ville => Titre sujet à changement]

Sujet: Re: Arbor: Vents Nouveaux~ [PV: Kyo/Talim]

RP

La ville marchande

Autres villes

RP

La ville marchande

Autres villes

RP

La ville marchande

Autres villes